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anthropologie & divergences anthropologie & divergences c’est pas moi, ce sont les autres! pandi panda, le panda qui pendouille. 13 mai, 2008 classé dans : anthropologie — celo @ 15:44 pandalcoolique sur les bords, ce jeune homme à la toison poivre et sel devrait s’acheter des vraies mains d’hommes. utiles en cas d’apprentissage de chanson de merde afin de ne pas se briser le poignet (quoi que ce ne serait peut-être pas un mal), les mains d’hommes ont le mérite de ne pas effrayer les filles qui ont des phobies improbables. leur grande taille permettrait aussi de se gratter une plus grosse paire de couilles et d’affirmer aux yeux de tous l’animal exceptionnel qui dort là bas tout au fond. j’ai pas dit la bête, hein, on s’entend. espèce en voie de disparition, le panda qui pendouille est habité par le doute. doute qui ne se confirme dans aucun aspect de sa personnalité, outre une connerie galvanisée au plutonium et qui le mènera à sa perte (pas verte, merci). tant qu’à pendouiller autant assumer ces jolies qualités qui font de cette petite chose une présence recherchée par les plus grands amateurs de questions jaune du trivial poursuite. de part cette féroce aptitude à connaître des réponses à la con, le panda est admiré, nul ne l’ignore, par ringo star qui à érigé un mémorial en son nom. on peut même lire au pied de la statue: « a nico73, l’homme plus ringard que ringo ». preuve touchante, si ce n’est gratifiante, qui fit que le panda devint acteur de films de mousquetaires adulé en urgovie. cette renommée de ringard mondial lui permet maintenant de vivre de ses rentes à guenion, petite ville foobalistique s’il en est. il y vit paisiblement dans un champ d’eucalyptus, en marcel blanc et casquette en cuir, répétant inlassablement des chorégraphies des village people. activité physique qui occupe ses nuits, alors que ses jours sont réservés à cracher sur les vieux qui donnent des francs. etrange phénomène de répulsion qu’il devrait appliquer avec parcimonie, certes confondre allègrement « vieux » et « mains » peut-être amusant un temps, mais cela en fait un panda poite. gare toutefois à la pandanémie et à la pandapoplexie, deux maladies génétiques chez le panda bleu de gex, qui nous retire souvent le pain de la bouche dans un dernier râle et fauche dans leur prime jeunesse des pandas aux couilles microscopiques mais aux coeurs en béton armé. pour respecter ses dernières volontés, nous l’enterrerons en costume traditionnel autrichien avec comme épitaphe: « ci-gît, en fait, un panda aimé de tous, mais quand même qu’est-ce qu’il avait les mains moites ». ps: ca fait quoi alors d’être sur le blog? ;d -- 3 com mentaires sur la base de repenti de renan luce … 2 avril, 2008 classé dans : profondeur de moi — celo @ 11:05 beaucoup de monde me réclame à corps et à cris un texte, alors pour nourir les chiens affamés, voici un texte profond et novateur. ptit ziziiiiiii, j’ai bien rit. j’aurais bien pu lui couper les noix, au fil dentaire ou au rasoir. mais le pauvre n’en avait point, triste oeunuque au bord du désespoir. -- 2 com mentaires naked 7 décembre, 2007 classé dans : profondeur de moi — celo @ 0:57 la vérité est toute nue, elle à enlevée son pull et ses moufles, elle a aussi viré son bonnet, ses bottes et son pardessus, pas à l’aise elle étouffe. la vérité s’en fout elle se met à poil, sans jeans et sans culotte, elle s’en bat les couilles de tout, elle veut juste qu’on l’écoute. la vérité n’est pas épilée, elle ne s’est pas fait les ongles, ni maquillée, elle s’en fout des apparences dépassées, elle n’a même pas eu l’obligeance de se doucher. la vérité est crue, elle ne supporte pas la chaleur, elle préfère se livrer toute nue, c’est comme ça qu’elle profite du bonheur. la vérité a envie de crier, elle veut s’ouvrir et hurler, mais rien ne sert de s’égosiller, la personne à toucher ne fait qu’écouter. la vérité claque les portes et crache par terre, elle vient tout en poil et en larmes, annoncer à la terre entière, que sa mère, elle l’aime. -- 3 com mentaires la ratée égocentrique 5 novembre, 2007 classé dans : anthropologie — celo @ 13:16 petite chose insignifiante aux yeux du monde, elle se juge diabolique, mais ce n’est qu’un ramassis d’aberrations sociales qui s’immisce à mes cotés. chaque putain de jour. du haut de ses 34 kilos et ses presque 50 ans mal assumés, elle pense me faire peur avec des incantations sorties du « le satanisme pour les nuls ». ne parlons même pas de ses regards meurtriers, aussi vides que ceux d’un thon anémique mort. au lieu de ça elle ressemble à un chihuahua constipé en attente d’un os vermoulu à ronger. elle est bien ridicule dans sa petite vie miniature où les alliances dépendent de ses intérêts. mais même là, elle se vautre magistralement. la finesse n’est pas de mise, le léchage de cul titanesque qu’elle opère alternativement n’est qu’une flagrante plaisanterie de sa perfidie de bac à sable. elle ne me fait même pas pitié, pour cela je devrais avoir un début de respect pour cette vieille peau flétrie qui suinte la méchanceté ménopausée. la seule chose qui pourrait réellement me troubler c’est l’intervention divine qui s’acharne à la rendre encore plus minable qu’elle n’y parait. je renierais presque mon agnosticisme, pourtant à toute épreuve. sa vie est à l’image de sa pauvreté mentale : vide et abjecte. ses codes secrets téléphoniques, une mauvaise blague puérile. ses sorts de magie noire, une prouesse vertigineuse de connerie. son manège quotidien d’analyse des chiffres et des symboles n’a d’occulte que sa profonde ignorance de cette science. heureusement, son acharnement à être dénuée de toute forme de vie cérébrale, me fait passer de bons moments. même son tempérament frustré par des années de frigidité cadavérique amène son lot quotidien de fous rires. imaginez un hamster neurasthénique grattant frénétiquement les bords de sa cage dans l’espoir de se faire la malle, pitoyable et risible au possible. aboyant tel un roquet qui aurait perdu la raison, ses appels au loup planent dans l’air comme autant de mouches autour de sa vie de merde. l’ignorance est ma meilleure arme, son éviction le meilleur remède. en attendant ce jour béni, la mise au pilori est délectable. le jus d’hydromel parait bien fade comparé à celui du sarcasme que je dirige contre elle sans vergogne. vieille fille puante, elle se croit indispensable, elle n’est qu’un quota parmi l’élite. -- 4 com mentaires cerveau fossile 23 mai, 2007 classé dans : anthropologie — celo @ 10:47 j’ai lu récemment que nos instincts primaires étaient encore présents. car, sur l’échelle du temps, 10’000 ans de civilisation et de sédentarisation représentent peanuts sur l’évolution de notre cerveau, donc sur ses réflexes primaires. en gros notre encéphale subit les affres paléontologiques alors que notre enveloppe évolue dans une société se narguant d’être civilisée. cette inadaptation, temporaire (quelques milliers d’années encore, courage !), a pour effets de nous faire adopter des comportements rageants, burlesques ou pitoyables. quelques inepties me viennent en tête : la loi de reproduction poussent le mâle à propager ses gènes afin d’acquérir une pérennité noblement gagnée (le jerry springer show lui rend grâce tous les jours). l’homme est naturellement musclé (!), vif (!!!) et rapide (!!!!!!!) afin de ramener la pitance à la grotte. l’entretien de la dite grotte n’étant pas dans ses attributions. en effet, comment nettoyer l’argenterie avec une massue ? la femme, elle, a des attributs graisseux proéminents et un caractère à toute épreuve afin de porter leur progéniture et de supporter l’homme des cavernes, harassé par une journée de chasse. sa seule compensation est d’avoir une excuse mensuelle pour vomir sa condition (la pire injustice étant la cellulite). si la femme entreprend de ramener un complément à la chasse masculine, il va de soi que les attributions naturelles une fois rentré à la grotte ne changent pas. sa chasse étant reposante, hilarante et épa